Acte
de mariage de TRILLES (ROCH) Jean Baptiste avec TRILLES Baselice
Source : Mairie de Matemale (Pyrénées Orientales)
Acte
n° 15, rédigé à la Mairie de Matemale (Pyrénées Orientales)
En
marge :
Mariage
de J.Baptiste Trilles et Baselice Trilles
L'an
mil huit cent neuf et le onzième jour de mois de may, par devant nous, maire et
officier de l'état civil de la commune de Matemale et Creu, département des
Pyrénées Orientales, canton de Mont-Louis, ont comparus J. Baptiste
Trilles, natif et résidant à
Matemale, cultivateur, âgé de vingt et trois ans,, fils à Pierre Trilles,
décédé, et à Marie Tichadou, résidente à Formiguères, âgée de soixante
et trois ans, d'une part;
Et Baselice Trillès, native et résidente à Matemale, âgée de vingt et
deux ans, fille à Jean Trilles, âgé de cinquante et un ans, voiturier,
résident à Matemale, et Catarina Salvat, décédée d'autre part, dont la
mère du dit Trilles et le père de la dite Trilles ici présents et consentants
au mariage projeté entre eux dont les publications ont été faites, savoir: la
première, le dernier dimanche de avril, et la seconde le xxxxx jour du mois de may.
Aucune
opposition ne nous a été faite, faisant droit à leur demande de ce requis,
après leur avoir fait lecture de toutes les pièces ci dessus mentionnées et du
chapitre six du code civil intitulé mariage, avons demandé au futur époux et à
la future épouse s'ils voulaient se prendre en mariage, c'est à dire pour époux
et pour épouse . . . . . . savoir leur
mutuel consentement, nous déclarons au nom de la loi que J. Baptiste
Trilles et Baselice Trilles sont unis par le mariage, de tout quoi a . . . . . dressé a été en présence de Joseph
Delbos, cultivateur, âgé de trente . . . ans,
et de Gil . . Nau, âgé de trente et cinq
ans et de J. Antoine Seneb . . résident à
Formiguères, propriétaire, âgé de soixante ans, et Joseph Verges, cultivateur,
âgé de cinquante ans résident à Matemale qui ont été requis de signer, l'époux . . . . et le père de l'épouse et les témoins ont
signé, et l'épouse et les mères des époux nous ont .
. . pour ne savoir en foi de quoi.